jeu.
23
janv.
2025
La maison des jeunes de Diack dotée d'une bibliothèque scolaire, a abrité la cérémonie de réception d'un lot de 448 ouvrages( manuels). Il s'agit d'un don de la société Gécamines pour " renforcer les deux bibliothèques scolaires que nous avons au niveau de la maison des jeunes de Ngoundiane et celle de Diack", a informé le maire de Ngoundiane, Mbaye Dione.
" Ces 448 ouvrages ont été mis à la disposition des deux bibliothèques pour aider les élèves de Ngoundiane de l'élémentaire, du moyen secondaire, du supérieur[...]. C'est un grand honneur de recevoir encore une fois Gécamines dans cette maison qu'elle a offerte à la jeunesse de Ngoundiane et à la jeunesse de Diack. Ils nous ont offert ça gracieusement. Nous leur serons éternellement reconnaissants pour ce énième geste qui contribue à montrer le modèle de RSE que Ngoundiane a instauré en partenariat avec les exploitants de carrières et que Gecamines a bien compris[...]", a-t-il ajouté.
À noter que le directeur général de la Gécamines Jean Brice a conduit la délégation de ladite société...
mer.
22
janv.
2025
En Côte d’Ivoire, la Banque nationale d’Investissement (BNI), vient de négocier l’obtention d’un prêt de 100 millions d’euros (102,7 millions $) auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI) au profit de la filière cacao. L’annonce a été faite le vendredi 17 janvier dernier dans un communiqué publié sur le site de la BEI.
D’après l’institution financière européenne, plus de 90 % de l’enveloppe devrait être allouée à des entreprises opérant dans la filière cacao pour répondre à une demande croissante de cacao durable, conformément aux nouvelles normes environnementales et sociales de l’UE et à la législation nationale, notamment en ce qui concerne la lutte contre le travail des enfants et la déforestation.
Ce partenariat financier prévoit également la mise en œuvre d’un programme d’assistance technique destiné à renforcer les capacités des PME et coopératives du secteur du cacao, à élaborer des plans d’affaires viables et à structurer efficacement leurs demandes de financement pour la réalisation de leurs activités. « Ce financement d’envergure s’inscrit dans la stratégie Global Gateway : il a pour objectif de transformer les chaînes de valeur agricoles, en particulier celle du cacao, vers un modèle économique plus durable et équitable, et ainsi consolider le rôle leader de la Côte d’Ivoire dans la production de cacao durable », a déclaré M. Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-agro/2001-125049-cote-d-ivoire-la-bni-obtient-un-financement-de-103-millions-pour-la-filiere-cacao
mer.
22
janv.
2025
La mine d’or Nampala au Mali peut rester en production jusqu’en décembre 2026. Son propriétaire Robex Resources en a fait l’annonce jeudi 16 janvier, précisant qu’il s’agit d’une prolongation de quelques mois par rapport au calendrier précédent, prévoyant une exploitation jusqu’en juin 2026.
La production annuelle attendue sur cette période est d’environ 52 000 onces. Ce nouveau plan minier s’appuie sur des réserves minérales de 121 000 onces. « L’augmentation de la durée de vie de la mine de Nampala est une étape importante pour Robex afin de définir l’avenir de cet actif. L’équipe de Nampala a fait un travail fantastique en continuant à produire de l’or à faible coût dans un environnement difficile », a commenté Matthew Wilcox, DG de Robex.
Robex n’exclut pas de prolonger la durée de vie de la mine au-delà de 2026. En production depuis 2017, la mine d’or Nampala dispose de plus de 100 000 onces d’or classées actuellement dans la catégorie des ressources minérales indiquées. Des travaux d’exploration pourraient donc permettre de convertir ces ressources en réserves.
Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-industries/1701-124988-le-canadien-robex-prolonge-la-duree-de-vie-de-sa-mine-d-or-au-mali
mer.
22
janv.
2025
En Côte d’Ivoire, l’identité des propriétaires effectifs des entreprises minières reste difficile d’accès, malgré l’existence de plusieurs dispositifs de recensement. Une situation qui freine la transparence et alimente les risques de fraude et de corruption, selon un rapport de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) publié le lundi 30 décembre 2024.
La loi ivoirienne dispose qu’un bénéficiaire effectif est une personne physique détenant directement ou indirectement plus de 25% des parts, actions ou droits de vote d’une société, occupant la position de dirigeant principal ou exerçant un contrôle sur sa direction.
Le pays a mis en place 3 principaux outils pour recenser ces propriétaires : le Registre des bénéficiaires effectifs de la Direction générale des impôts (DGI), le Registre centralisé au greffe du Tribunal de commerce d’Abidjan, et le Registre du commerce et du crédit mobilier (RCCM). Cependant, seul le RCCM est « théoriquement accessible au public », et même cet accès requiert une demande formelle au greffe du tribunal compétent.
Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites/1801-125026-divulguer-les-proprietaires-effectifs-des-mines-en-cote-d-ivoire-reste-un-defi-majeur-itie
mer.
22
janv.
2025
Au Burkina Faso, le gouvernement a approuvé le mercredi 15 janvier en Conseil des ministres une prise de participation de l’Agence pour la promotion de l’entrepreneuriat communautaire (APEC) dans le capital social d’une société en charge du projet de construction d’une unité de transformation de tomates basée dans la ville de Tenkodogo.
Cette opération valorisée à hauteur de 1,5 milliard de francs CFA (2,4 millions $), devrait permettre de financer en partie le projet, dont le coût prévisionnel total est évalué à plus de 7,5 milliards de francs CFA (11,8 millions $).
Si pour l’heure la capacité de transformation et la date de livraison de l’unité ne sont pas encore révélées, la démarche de l’APEC confirme la volonté du gouvernement de développer une industrie locale dans la filière tomate en vue de répondre aux besoins sur le marché intérieur. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-agro/1701-125002-le-burkina-faso-s-active-sur-le-segment-de-la-transformation-de-tomate
mer.
22
janv.
2025
En Côte d’Ivoire, la production de noix de cajou est attendue à 1,15 million de tonnes au cours de la campagne de commercialisation de 2025, soit 20 % de plus que le stock de 944 667 tonnes récolté l’année dernière. C’est ce qu’a annoncé Kobenan Kouassi Adjoumani, ministre de l’Agriculture, du Développement rural et des Productions vivrières, le samedi 18 janvier lors du lancement officiel de cette campagne de commercialisation.
Cette prévision, si elle se réalise, signerait un rebond pour la filière ivoirienne qui a enregistré une baisse de 23 % en 2024 par rapport à l’année précédente. Elle s’inscrit en outre dans un contexte de revalorisation du prix d’achat bord-champ de l’anacarde, une mesure qui devrait renforcer l’attractivité de la filière pour les agriculteurs.
En effet, le prix d’achat du kilogramme de noix de cajou est fixé à 425 francs CFA (0,66 $) en 2025, ce qui représente une hausse de 54,5 % par rapport au tarif de 275 francs CFA (0,43 $) qui était en vigueur l’année dernière. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-agro/2001-125044-cote-d-ivoire-rebond-attendu-de-20-de-la-recolte-de-noix-de-cajou-en-2025