Selon les données officielles, le sous-sol guinéen abriterait environ 700 tonnes de réserves aurifères. Alors que ce potentiel reste sous-exploité, de plus en plus de compagnies minières se positionnent pour lancer de nouvelles études exploratoires dans le pays.
Quelques semaines après avoir annoncé sa sortie du Burkina Faso avec la vente de la mine Yaramoko, Fortuna Mining pense à une expansion en Guinée, pays auquel elle entend consacrer une partie de son budget d’exploration aurifère. C’est ce qu’a indiqué son PDG Jorge Ganoza selon des propos relayés par Reuters, lundi 5 mai. Avec cette déclaration, la compagnie minière canadienne est le dernier acteur en date ayant confirmé son intention d’investir dans l’exploration du potentiel aurifère guinéen, estimé à 700 tonnes d’or.
Plus tôt en mars dernier, Sanu Gold a annoncé une levée de fonds de 8,4 millions USD via un placement d’actions destiné à financer l’exploration de ses permis aurifères de Daina, Daguifara et Bantabaye. Il en est de même pour Volt Resources qui a annoncé le lundi 7 avril sa volonté de relancer ses opérations d’exploration en Guinée, sur les projets Kouroussa, Konsolon et Mandiana. Plus récemment, le mardi 29 avril, Asara Resources a réitéré sa volonté d’accélérer la prospection sur le prospect Kada, actuellement le seul projet africain de son portefeuille.
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